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Colloques et journées d'étude de 2016 à 2018

Laurentius de Voltolina, Public domain, via Wikimedia Commons

Le Centre André Chastel et ses membres organisent régulièrement des colloques et des journées d'études, au sein du Centre ou en partenariat avec d'autres institutions.

L'ensemble de ces manifestations depuis 2005 sont listées et présentées dans la page Actualités, la barre de filtres permettant de sélectionner le type choisi (Colloque ou Journée d'études). Elles sont  également relayées dans les réseaux sociaux Facebook et Twitter du Centre Chastel.

Comptes rendus des colloques et journées d'études organisés entre Mai 2016 et 2018 

Ces manifestations ont donné lieu à des comptes rendus de quelques pages, rapidement mis en ligne, que des actes soient prévus ou non à plus long terme. Sont ainsi disponibles :

Cette journée d’étude a été organisée par Brice Ameille, ATER à la Faculté des lettres de Sorbonne Université et docteur du Centre André Chastel, et Adrien Goetz, maître de conférences en histoire de l’art à la Faculté des lettres de Sorbonne Université et membre du Centre André Chastel, avec l’assistance de Reza Kettouche du Centre André Chastel.

Ce workshop a été organisé par Francesca Alberti (CESR/Université François-Rabelais, Tours) et Antonella Fenech Kroke (Centre André Chastel/CNRS). Il s’agissait de la première rencontre du cycle « Corps Troublants. Images et imaginaires dans la première modernité », ayant reçu le soutien du GIS Humanités.

Ce colloque international, organisé par Basile Baudez (Université Paris Sorbonne) et Adrián Almoguera (Université Paris Sorbonne), avec l’assistance d’Elinor Kelif (Centre André Chastel, LabEx EHNE), de Reza Kettouche (Centre André Chastel) et d’Adélaïde Couillard (Centre André Chastel), était consacré à l’étude typologique du palais royal en Europe, de la seconde moitié du XVIIIe siècle à la première moitié du XIXe siècle.

Colloque organisé par Marianne GRIVEL (université Paris-Sorbonne, Centre André Chastel), Estelle LEUTRAT (université de Rennes-II - Haute Bretagne) et Emmanuel LURIN (université Paris-Sorbonne, Centre André Chastel), assistés d'Adélaïde Couillard, de Réza Kettouche et de Catherine Prioul, Centre André Chastel. L’objectif du colloque était d’étudier la place de l’écrit, ses formes et ses fonctions dans l’estampe européenne au XVIe siècle, de la production des matrices à la diffusion des images et leur utilisation par différents acteurs.

Travailler sur le marché de l’art en s’intéressant à la fois aux artistes, aux agents et aux collectionneurs n’est pas nouveau en soi. Ce colloque renouvelait cependant le propos scientifique de manière audacieuse en proposant des thèmes variés et ne définissant aucune délimitation temporelle ou géographique particulière. L’idée des organisateurs était de mettre en avant l’évolution du marché de l’art tout autant que les particularités liées aux époques, aux artistes et aux agents. 

Ce colloque, qui avait pour thème le vitrail dans la demeure des origines à nos jours, a fait l'objet d'un ouvrage de pré-actes, réunissant le programme et les résumés des interventions et des visites. Il est disponible au Centre André Chastel. 

Voir l'ouvrage

« Ce colloque international organisé par le Centre André Chastel et le Labex Écrire une histoire nouvelle de l’Europe, avec le soutien du Ghamu et de la Société archéologique de Sens, était consacré à l’artiste Giovanni Niccolò Servandoni et, plus largement, aux arts en Europe au XVIIIe siècle. Francesco Guidoboni (Université Panthéon-Sorbonne-Université de Rome, Ghamu) et Jérôme de La Gorce (CNRS, Centre André Chastel) nous ont conviés à ces deux journées d’études qui avaient pour but de présenter l’oeuvre de Servandoni, tout en élargissant le propos à la création artistique du XVIIIe siècle, car Servandoni était avant tout un artiste européen et les seize interventions de ce colloque l’ont parfaitement démontré. »

 

« Cette année, en collaboration avec le Labex EHNE, les IXes Rencontres européennes d’architecture se sont déroulées du 9 au 11 juin 2016 à Paris, au Centre André Chastel. Ce colloque international, organisé par Alexandre Gady, professeur à Paris Sorbonne et directeur du Centre André Chastel, a mis à l’honneur l’escalier, « membre privilégié de l’architecture » (André Chastel). »

L’association des termes « allégorie » et « topographie » souligne les liens existant entre une forme d’expression et une modalité de la représentation de l’espace qui pourraient, au premier abord, paraître éloignées l’une de l’autre. L’allégorie est une figure de rhétorique et aussi un mode de figuration qui met en scène une chose dans le but d’en fait comprendre une autre, tandis que la topographie retrace sur un support les contours d’un lieu. Or, la polyvalence des langages allégoriques répond aux exigences de l’Europe qui, pendant la première modernité, se dessine aussi bien politiquement que culturellement et physiquement. Les différentes interventions ont ainsi cherché à comprendre les connexions possibles entre ces deux formes d’expressions.

« Le thème de l’hallucination s’est vite imposé car peu de colloques ou de journées d’études s’étaient penchés sur la question. Mais aussi parce qu’il offrait la possibilité d’ouvrir les communications à divers champs d’études : aussi bien la littérature que le cinéma, les installations et les arts plastiques, que ce soit au XIXe, XXe ou XXIe siècle. » 

« Ce colloque, qui s’est concentré sur les années 1910, décennie de tensions entre la France et l’Allemagne, mais aussi période de montée des différents nationalismes, était donc particulièrement pertinent. Le but de ses nombreuses interventions était en effet de comprendre la manière dont les arts, et notamment les arts décoratifs, la mode et le design, ont pu se construire à l’aune de ces différentes optiques, mais aussi renouveler le regard parfois faussé que nous pouvons avoir sur cette époque et ses manifestations artistiques. »

« Tout au long de la journée a été étudiée la passion jardinomaniaque animant le XVIIIe siècle, l’idée étant de mettre en exergue de nouveaux thèmes de recherches possibles dans le domaine de l’étude des jardins. »

Voir aussi le compte rendu qui a été fait d'une exposition :

Après avoir été présentée au Palais Lumière d’Evian entre le 2 juillet et le 2 octobre 2016, l’exposition rétrospective sur l’artiste Albert Besnard (1849-1934) a pris place au sein du Petit Palais du 25 octobre 2016 au 29 janvier 2017.